Tunisie: entre tristesse et espoirs déçus
“Beaucoup de tristesse et d’espoirs déçus.” Voici ce qui a marqué notre journaliste-vidéaste Pierre Schonbrodt lors de son voyage en Tunisie. Invité par l’Association des Démocrates (...)
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Le Centre d’Action Laïque a choisi d’aborder l’histoire de l’immigration marocaine en Belgique dans son nouveau dossier pédagogique, cinquante-huit ans jour pour jour après la signature de la (...)
Découvrir de nouvelles cultures, en apprendre les richesses et partager la nôtre avec celles-là: telle est la recette d’une société interculturelle – la seule qui intègre tout le monde! Le CAL (...)
Janvier 2011, “Dégage Ben Ali”, scande la foule, “et avec toi le chômage, la pauvreté, le manque de perspective”. Où en est la Tunisie depuis le printemps arabe dont elle fut l’épicentre ? Les choses ont-elles changé ?
Corruption persistante, justice transitionnelle à la peine, transformation institutionnelle et administrative à l’arrêt et un chômage endémique: de nombreux Tunisiens à travers tout le pays estiment aujourd’hui que ce fut “une révolution pour rien”. Car au fond, ce n’est pas pour une nouvelle Constitution que la jeunesse de Sidi Bouzid et Kasserine était allée défier les snipers de la dictature. Leurs revendications étaient simples : travail et dignité. Comme l’un et l’autre se font attendre, cette jeunesse ne pense de nouveau qu’à une chose: émigrer.
Invités: Nathalie Caprioli, journaliste, responsable de rédaction d’Imag, le magazine de l’interculturel édité par le Centre Bruxellois d’action interculturelle (CBAI), Pierre Schonbrodt, journaliste et vidéaste au Centre d’Action Laïque, et Diego Dumont, qui a créé l’association de soutien aux migrants « Hesbaye terre d’accueil ». Tous trois reviennent de Tunisie où ils ont participé à une journée d’études sur l’interculturalité et présenté le documentaire VNous produit par le Centre d’Action Laïque sur les hébergeurs belges de migrants.
Il s’appelle Saad… mais il aurait pu s’appeler Issan, Selmah ou Tatiana. Il a fui les bombes de son pays. Sur scène, ce personnage imaginaire mais tellement empreint de réel nous raconte, nous danse, nous chante son ressenti. Lui qui a cessé d’être un être humain pour devenir un migrant.
Reportage sur « Ainsi chantait l’olivier », un spectacle hybride qui mêle théâtre, slam, rap, musique traditionnelle et danse pour le plus grand plaisir de nos yeux et nos oreilles. A voir à l’Espace Magh jusqu’au 14 mai.
Les politiques d’asile et d’immigration cristallisent toutes les tensions et outrances. Et les migrants sont systématiquement utilisés comme un argument électoral, ajoutant ainsi une violence ...
Les migrations ont toujours existé et elles existeront toujours. Gageons que le phénomène risque même de s’accentuer puisque le ...