200 millions de filles et de femmes auraient subi, selon l’Unicef, une forme de mutilation génitale à un moment de leur vie. Cette pratique, exercée principalement en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie, existe aussi en Belgique. Il est temps d’y mettre fin. Nous avons approfondi cette question à l’occasion de l’exposition « Anthostoria, a flower story » et de la journée internationale de la tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines. Invitées: Fabienne Richard, directrice du GAMS Belgique (Groupe pour l’Abolition des Mutilations Sexuelles) et sage-femme au Centre Médical d’Aide aux Victimes de l’Excision au CHU St-Pierre à Bruxelles, Fos Mohamed Nur, animatrice au Gams à Liège, ainsi que Maya Azizollahoff et Joy Anciaux, anciennes étudiantes à l’ULB et co-organisatrices de l’expo « Anthostoria, a flower story ».