La liberté de conscience, avec la liberté de pensée et la liberté de religion, fait partie des libertés fondamentales protégées tant au niveau national qu’international. Elle ne peut avoir d’autres restrictions dans une société démocratique que celles prévues par la loi visant à protéger l’ordre public.
La Déclaration universelle des droits de l’Homme du 10 décembre 1948 stipule dans son article 18 que « toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seul ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites. »