Le gouvernement français a confié à Facebook, Google, Microsoft, Apple et Twitter la direction d’une fondation de droit privé. Son objectif: combattre la propagande djihadiste sur le web en diffusant notamment des témoignages de terroristes repentis. Sur les réseaux sociaux, des experts voleront également à la rescousse des jeunes en perdition avant qu’ils ne cèdent aux sirènes du djihad. L’opération vise à laisser le gouvernement entre parenthèses, sachant qu’il représente fatalement le système que ces jeunes rejettent en bloc. Est-ce pour autant aux majors de l’Internet que revient le rôle de la contre-propagande? La fin justifie les moyens, disait l’autre. (map)
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